Découvrez notre coup de coeur jeunesse BD : Cabot-Caboche, de Grégory Panaccione, d'après le roman de Daniel Pennac
Coups de coeur
Découvrez notre nouveau coup de coeur : En me promenant avec Kiki, de Davide Cali et Paolo Domineiconi.
Ohio, 1984. Le procureur Autopsy Bliss publie une annonce dans le journal local de Breathed invitant le diable à lui rendre visite. Sal, un jeune garçon noir aux étranges yeux verts, y répond. Pensant que ce dernier a fugué d'une ferme voisine, il l'héberge, sans se douter un instant des terribles événements que sa venue va provoquer.
Un roman flamboyant (au sens propre), à l'écriture hypnotique et à l'imagination luxuriante. Un véritable coup de cœur !
Découvrez notre coup de coeur jeunesse : Toutes petites histoires, de Miguel Tasco, aux éditions Grasset.
Retrouvez les lectures partagées entre les membres du club lecture !
Auteur turc de bande dessinée, Ersin Karabulut retrace son parcours d'artiste et de citoyen lambda tout en brossant le portrait d'un pays tiraillé par des antagonismes politiques et sociétaux profonds. A travers son histoire, il alerte sur l'importance de la liberté d'expression et de la liberté de la presse dans la Turquie d'Erdogan. Prix Relay de la BD 2022.
Découvrez notre coup de coeur bande-dessinée : Seizième printemps, de Yunbo.
ou comment l'industrie du bonheur a pris le contrôle sur nos vies.
La psychologie positive voudrait nous faire croire que le bonheur est une recette simple qui s'apprend. Ses ingrédients ? Résilience, techniques de réalisations de soi, développement personnel, méditation, etc. Mais ne fabriquerait-on pas ainsi de la soupe à la grimace ? L'auteur pointe les conséquences de cette pseudo-science du bonheur : montée de l'individualisme, désintérêt pour le combat collectif, exacerbation des dépressions, mésestime de soi, confortement d'un système auquel les individus doivent sans cesse s'adapter de façon flexible, tyrannie de la normalité.
Le réalisateur Fabien Gorgeart s’empare d’un souvenir d’enfance et le transforme en un mélodrame chavirant qui évoque avec subtilité les tourments que suscite le retour d’un père dans la famille d’accueil de son enfant. D’une caméra fluide, au plus près des visages, il capte des moments suspendus et des instants de faiblesse d’une authenticité bouleversante. La Vraie famille est un film merveilleux, sans aucune fausse note : souvent déchirant, mais parfois aussi drôle et lumineux. Mélanie Thierry y trouve l’un de ses plus beau rôles.
Ce film est tout simplement un cocktail d'émotions, un hymne déchirant à l’amour maternel.
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